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 comment les armée de Lanowar son arrivé sur Téliarok

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Liomko
Héros Nordique
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Liomko


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Guilde : Cercle des Guerriers Disparus
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MessageSujet: comment les armée de Lanowar son arrivé sur Téliarok   comment les armée de Lanowar son arrivé sur Téliarok EmptyDim 9 Oct - 23:13

Après une alliance de pitoyables seigneurs, un royaume portant le nom de Lanowar, vivant dans la plaine de la Yavimaya, sur une île totalement inconnue de tout seigneur de Téliarok nommé Crihan. Ce royaume fut mis à feu et à sang sans rien pouvoir faire, attaquer en plein milieu d’une nuit sans lune et sans avoir été prévenu. Les seuls survivants se sont repliés dans les montagnes de Teld-jihad autrement appelées montagne maudite, a l’aide de quelques soldats qui avaient encore le courage de se battre. Dans ces montagnes, ils furent accueillis par le froid ainsi que des entités et des créatures plus maléfiques et plus dangereuses les unes que les autres. Mais Ashnod, l’un des soldats qui à permis la fuite des survivants et qui fut nommé comme le dirigeant de cette communauté car ce n’était plus un royaume, après ce qu’ils avaient subi, décida de s’y accommoder afin que chaque homme, soldats ou paysans deviennent plus puissants que dix hommes réunis et de revenir se venger un jour afin de montrer que toute personne utilisant la lâcheté pour parvenir à ses fins n’obtiendra que ce qu’elle mérite : LA MORT !

C’est en ce lieu que ma mère, Akroma, me mit au monde, après seulement douze jours passés dans ces montagnes. Elle me donna le nom de « Liomko ». Je fut le premier à naître dans ces conditions horribles et le seul des nouveau-nés à avoir survécu pendant les deux premières années car les conditions étaient trop difficiles afin qu’un bébé puisse y survivre. Ashnod voyait en moi le futur seigneur qui pouvait conduire les armées de Lanowar à inspirer le respect et l’honneur sur l’île. Alors que je n’avais que trois ans il commença à me former au combat.

Mais, après quelques années, il remarqua en moi un manque de volonté. Le jour de mes treize ans, il décida donc de m’emmener plus haut dans la montagne, dans un endroit où personne ne pouvait survivre plus d’une demi-lune, sur Fyndhorn, le volcan enneigé mais tout le temps en activité, et de m’y laisser. Si j’y survivais douze lunes il me confiait l’armée de Lanowar sinon je mourais sur les flans de Fyndhorn car il prit bien soin de couper tout accès à des montagnes plus vivables. Dans ces montagnes j’ai pu combattre des créatures les plus étranges que contienne ce monde, mais j’ai pu aussi sympathiser avec certaines dont une qui devint ma monture. Elle ressemblait à un cheval ailé et en même temps rien en elle ne faisait penser à un cheval, son corps d’un vert très foncé limite noir était soutenu par quatre pattes robustes finissant par des pieds qui ressemblaient aux griffes des faucons, une longue queue armée de pointes mesurant pour certaines plus de huit pouces, des ailes dont les plumes étaient plutôt faites d’écailles et ressemblaient étrangement à celles d’une chauve souris, et, une tête rappelant celle des guivres qui autrefois hantaient nos terres, celle-ci, pourvue de six cornes et dont les yeux d’un rouge sang semblaient pouvoir lancer des flammes. Je la nomma Akroma car elle me donnait beaucoup d’affection comme le faisait ma mère et grâce à elle je pus survivre les douze lunes. Bien sûr me direz vous : pourquoi ne me suis-je pas enfui de cette montagne à l’aide d’Akroma puisqu’elle volait ? Eh bien je ne voulais pas décevoir Ashnod et toute une nouvelle armée qui croyait en moi et n’attendait plus que je lève mon épée pour enfin venger nos ancêtres et réinstaurer l’honneur et le respect à travers l’île, que je leurs dise d’écraser tous les lâches vivants dans la plaine de la Yavimaya et de quitter ces montagnes maudites où l’on peut être tué par une entité passant en travers de notre chemin.

A la fin des douze lunes je réapparus chevauchant Akroma, notre silhouette déchira l’orage, mes cheveux flottant dans le vent cachaient mon visage, mon ombre se répandu sur les bâtiments telle un noir présage ce qui amena la confusion au plus grand nombre, seul Ashnod et quelques autres guerriers sortirent leurs armes afin de combattre ce qui, pensaient-ils, était une entité des plus puissantes qui pouvaient exister. Un autre éclair fendit l’air et tous purent voir et reconnaître les traits de mon visage malgré la longueur de mes cheveux qui étaient nettement plus longs. Ma mère fondit en larmes, Ashnod et beaucoup d’autres tombèrent à genou tellement ils étaient soulagés mais gardaient un visage perplexe en me voyant plus costaud qu’avant et en parfaite santé après avoir subi de telles épreuves, les derniers, eux, semblaient terrifiés par Akroma et la regardait fixement près à s’enfuir au moindre faut mouvement. Je compris alors que chevauchant Akroma je pouvais à moi seul pétrifier une armée et décida de la garder comme monture plutôt que de monter un vulgaire cheval.

Puis, quatre ans plus tard, malgré le jeune âge de la plus grande partie des guerriers, car ils étaient pour la plupart nés dans les montagnes de Teld-jihad après la destruction de Lanowar, je pris le commandement de l’armée de Lanowar afin de récupérer nos terres, une armée que je voulais voir devenir légendaire, terrifiante et qui impose le respect et l’honneur. Et c’est ainsi que l’armée de Lanowar, mon armée, redescendit les montagnes maudites de Teld-jihad avec, à l’avant, Akroma que je montais suivi par plus de mille guerriers plus motivés que jamais et pour certains, comme moi, montaient des créatures découvertes dans les montagnes. Seuls les anciens, dont Ashnod, montaient encore des chevaux qui avaient survécu aux montagnes.

L’hiver battait son plein quand nous arrivâmes aux abords de la plaine de la Yavimaya. Nous pûmes voir ce qu’étaient devenues les terres de Lanowar, en son centre, un château qui était encore en construction et quelques villages fermiers qui devaient avoir bien du mal à se nourrir eux-même vu le peu d’étendu de terres exploitées que nous pouvions apercevoir. Ashnod s’avança et dit « voilà ce que ces lâches ont réussi à faire de nos terres, quelques petites parcelles et un simple château pas encore fini après dix-huit ans », sur ces paroles, il envoya son faucon emmener un message, dans ce seul et unique château que l’on pouvait voir, pour les prévenir que dans quelques heures, l’armée de Lanowar revenait se venger. A notre grande surprise une armée sûrement trois fois plus grande que la notre sortie du château, comment un si petit château pouvait contenir autant d’hommes, nous ne le savions pas, mais cela ne suffisait pas pour nous impressionner, et nous fondîmes sur eux.

Alors que nous arrivions à moins d’un demi-milles de l’armée, sous une tempête de neige, celle-ci, déjà congelée par manque d’habitude de vivre dans le froid, me voyant chevauchant Akroma, commença à prendre peur, une bonne partie se mit à se précipiter vers l’entrée du château. Moi et mes hommes fendîmes leurs crânes et pourfendîmes leurs corps qui tétanisés par la vue de mon armée chevauchant des créatures qui leur inspiraient la peur et la panique ne levaient que très rarement leurs armes afin de défendre leur misérable vie et leur royaume. Toute l’armée fut décimée en moins d’un après-midi, et la tête de leur minable souverain tomba par la lame d’Ashnod.

Je laissai les derniers survivants s’enfuir plus loin dans la plaine pour qu’ils avertissent les autres seigneurs que l’armée du royaume de Lanowar était de retour, plus forte et plus terrifiante que jamais. En un an, Crihan était devenu une île loyale et respectueuse, mon armée était, elle, comme je le voulais, redoutée de tous et devenue une légende vivante.

Mais, comme si le destin était contre nous, Fyndhorn entra dans une telle éruption que même en étant à l’autre extrémité de Crihan, de gigantesques rochers pouvaient nous tomber dessus. Je demandai à mon armée de construire des radeaux afin de quitter l’île, mais ne sachant pas naviguer tous se perdîmes dans les eaux sans fin de l’océan.

Après plusieurs jours de désespoir, moi, Akroma et cinq paysans, accostâmes sur Téliarok, tous semblaient dépiter, même la lueur rouge sang des yeux d’Akroma semblait se ternir. En voyant leurs visages meurtris par la perte de leurs amis je dis : Il faut tomber pour mieux se relever alors ne nous retournons plus, il est temps de reconstruire une nouvelle fois le royaume de Lanowar. Je vis alors des troupes d’un royaume du nom de Daralandar. Ceux-ci eurent la bonté de me parler des lois de l’île et de m’indiquer le chemin de la demeure de l’empereur qui me confia une petite parcelle de terre. C’est ainsi qu’au beau milieu du printemps de l’an 24, un royaume du nom de Lothayhar naquit, et qui, par la suite, je pus lui donner le nom des terres que j’ai dû quitter et de mon armée qui s’est vu emporter par les tumultes de l’océan.

Sous réserve de modification parcequ'elle date un peu^^
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